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GES maison : comprendre et réduire son empreinte carbone

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GES maison

Lorsqu’on souhaite faire de sa maison un logement écoresponsable, l’émission de GES – inscrite dans le DPE – est un indicateur important à prendre en compte pour connaître l’empreinte carbone. Aussi appelé étiquette climat, le GES permet de quantifier la quantité de gaz à effet de serre émise par une maison ou un bâtiment. Pour réduire ces émissions, l’installation de solutions solaires comme les kits solaires photovoltaïques représente une alternative efficace, durable et accessible pour améliorer sa performance énergétique tout en produisant une énergie propre.

Mais comment fonctionne la notion de GES ? Dans ce guide, nous vous expliquons : 

  • Les moyens de mesurer le bilan GES de votre maison
  • Les facteurs responsables des GES
  • Nos meilleurs conseils pour réduire votre empreinte carbone et vos émissions de GES
  • Les subventions à la rénovation énergétique disponibles

Et bien plus encore !

Que sont les GES (gaz à effet de serre) d’une maison ?

Que ce soit lors d’une location ou de l’achat d’une maison, vous avez certainement entendu parler des GES. Qu’est-ce que c’est ? En quoi sont-ils importants ? Nous vous l’expliquons.

GES d’une maison, qu’est-ce que c’est ? 

Acronymes de Gaz à Effet de Serre, les GES sont une nouvelle catégorie, introduite dans le bilan DPE (Diagnostic de Performance Énergétique) d’un logement ou bâtiment depuis 2021.

Avant 2021, le DPE ne contenait que l’Étiquette énergie, qui servait à indiquer la quantité d’énergie consommée par une habitation en kWh/m2.an.

Avec le GES, il est désormais possible de connaître la quantité de gaz à effet de serre émise par l’habitation, en kg CO2éq/m².an (kilogramme équivalent CO₂).

Les principaux gaz à effet de serre émient par les habitations 

effet de serre émient par les habitations

Nous l’avons vu, le GES permet de connaître la quantité de gaz à effet de serre produite par une maison. Cela concerne quatre gaz, majoritairement produits par une habitation : 

Le dioxyde de carbone (CO₂)

Il s’agit du plus célèbre gaz à effet de serre, mais pas forcément le plus néfaste. Il est naturellement produit par la décomposition de matières organiques, la respiration des animaux et la photosynthèse des plantes. Cependant, la combustion d’énergies fossiles a décuplé la présence de CO₂ dans l’atmosphère.

Le méthane (CH₄)

Le méthane est un gaz produit par la décomposition de matières végétales ou la digestion d’animaux. Sa présence dans l’atmosphère a été perturbée par l’agriculture intensive et les industries pétrolières.

Le protoxyde d’azote (N₂O)

Ce gaz à effet de serre 273 fois plus puissant que le CO₂ est naturellement émis par les sols et les océans en faible quantité. Cependant, les industries chimiques et agricoles ont augmenté sa présence de 20% dans l’atmosphère.

Le tétrafluorure de carbone (CF₄)

Ce gaz est peu connu, pourtant, dans l’atmosphère, son potentiel de réchauffement est 9 055 fois plus élevé que celui du dioxyde de carbone. Le tétrafluorure de carbone est surtout utilisé comme gaz réfrigérant, dans les réfrigérateurs, congélateurs mais également les climatiseurs classiques et climatiseurs de voiture. En près de 200 ans, la concentration de tétrafluorure de carbone dans l’atmosphère a augmenté de 250%. 

Pourquoi une maison émet-elle des GES ?

Pourquoi une maison émet-elle des GES ?

En France à partir de 2009, le secteur résidentiel-tertiaire est le second poste d’émission de GES. Il constitue 20% des émissions nationales de gaz à effet de serre.

Un logement comporte plusieurs postes de production de GES. Ceux-ci se concentrent majoritairement dans le chauffage, la consommation électrique ou encore la gestion des déchets. 

Nous allons voir cela de plus près.

Le chauffage de la maison

Le chauffage est le principal poste de production de GES dans une maison. D’après une étude du Ministère Aménagement du Territoire Transition Écologique réalisée en 2020, voici la distribution en pourcentage des méthodes de chauffage des foyers en France :

  • 37% se chauffent à l’électricité
  • 35% au gaz naturel
  • 10,5% au bois
  • 9,6% au fuel

Or, la combustion d’énergies fossiles comme le fuel et le gaz est la principale source de CO₂, mais aussi d’oxydes d’azote (dont le protoxyde d’azote) dans l’air.

La production d’eau chaude

La production d’eaux chaudes représente une grande source d’émission de GES pour un foyer. Ici aussi, tout dépend du moyen choisi pour la faire chauffer. Les chaudières au fuel et au charbon de bois sont évidemment les plus polluantes, suivis des chaudières au gaz. La principale énergie utilisée est l’électricité, suivie du gaz, du bois et du fuel. 

La consommation électrique globale

La production électrique, toute source de production confondue, représente 43% des émissions mondiales de gaz à effet de serre. Mais en France, environ 71,6% de la production électrique est liée au nucléaire, la source d’énergie la plus décarbonée qui soit. Cependant, plus un foyer consomme d’énergie, et plus il rejette de GES et plus son bilan carbone est élevé. Lumières allumées inutilement, appareils électriques oubliés en marche, chauffage – ou refroidissement – excessif, la consommation électrique impacte grandement l’émission de GES d’une maison. 

Les matériaux de construction et l’isolation

En matière d’écologie, nous pensons souvent à la production de GES due au quotidien au sein d’une maison, mais pas à l’impact de la construction de celle-ci. Pourtant, le secteur de l’immobilier est le 3e poste d’émission de GES en France. Les matériaux utilisés comme le béton, le ciment, mais aussi des métaux comme l’aluminium et l’acier sont en effet fortement polluants. 

Les matériaux d’isolation, canalisations et enduits divers utilisés dans la construction de bâtiments peuvent voir leurs impacts GES varier du simple au quintuple.

La gestion des déchets

D’après le site notre-environnement.gouv.fr, la gestion des déchets représente 3% des émissions de GES de la France. Le stockage des déchets est la plus grande source de pollution avec une majorité d’émanations de méthane due à leur décomposition. En générant moins de déchets, ou en optant pour un compostage (dans la mesure du possible) ou le recyclage, il est possible de réduire significativement l’impact GES d’une maison.

Comment mesurer l’empreinte carbone de votre maison ?

Vous aimeriez louer, acheter ou vendre une maison et vous souhaitez connaître son empreinte carbone et son émission de GES ? Pour cela, deux solutions s’offrent à vous : 

Réaliser un DPE (Diagnostic de Performance Énergétique)

Le DPE est un diagnostic obligatoire à réaliser dans le cadre d’une location ou d’une vente. Celui-ci est effectué par un technicien professionnel, qui dispose d’une accréditation du Comité Français d’Accréditation (CoFrac). Le diagnostic est au prix de 100 à 200 euros.

Attention, le DPE ne concerne pas uniquement le bilan carbone d’une maison. Celui-ci, rappelons-le, se divise en deux parties : 

  • L’étiquette énergie : qui permet de connaître la consommation énergétique annuelle estimée d’une habitation ;
  • L’étiquette climat (GES) : qui permet d’estimer la quantité de gaz à effet de serre rejetée annuellement par l’habitation.

Enfin, le DPE permet de classer votre logement selon une échelle de notation allant de A à G, A désignant les logements à faible émission de GES. 

  • Classes A & B : Émission faible de GES
  • Classes C & D : Émission moyenne de GES
  • Classes E, F & G : Émission forte de GES

À NOTER

D’après l’ADEME, les ⅔ des logements du parc immobilier français ont été construits avant 1974. Or, aucune réglementation thermique n’existait à l’époque, et ces habitations (sans rénovations thermiques) affichent généralement en note de E, F ou encore G. 

Utiliser un simulateur d’empreinte carbone en ligne

Vous souhaitez estimer votre empreinte carbone par conscience écologique ou en vue de possibles travaux énergétiques ? Au lieu de faire réaliser un DPE, vous pouvez tout simplement vous diriger vers un simulateur en ligne qui vous permet d’estimer votre bilan carbone ou votre émission de GES globale. 

Pour y arriver, ceux-ci utilisent différentes données dont :

  • L’isolation de l’hébergement pour estimer ses besoins en chauffage ;
  • Les principales sources d’énergie (consommation électrique, chauffage, eau chaude, cuisson…) ;
  • Les habitudes de consommation (appareils utilisés en permanence, domotique…) ;
  • Le type d’appareils électriques utilisés (Classement énergie de A à G)

Quelle est la production moyenne de GES d’une maison ?

En France, la majorité des habitations sont classées D avec 32 % du parc immobilier. 24% du parc est classé C, et 22% classé E. Les habitations de classe F et G représentent ensemble 17% et seuls 5% des habitations françaises sont de classe A ou B

Il s’agit de nouvelles constructions, pensées pour leur efficacité énergétique et leur rapport à l’environnement.

Type de maisonÉmission de gaz à effet de serre en CO²/m².anConsommation d’énergie en kWh/m².an
AMoins de 6 kgMoins de 70 kWh/².an
BEntre 6 et 11 kgEntre 70 et 110 kWh/².an
CEntre 11 kg et 29 kg de CO²/m².an Entre 110 et 180 kWh/².an
DEntre 30 kg et 50 kgEntre 180 et 250 kWh/².an
EEntre 50 kg et 70 kgEntre 250 et 330 kWh/².an
FEntre 70 kg et 100 kgEntre 330 et 420 kWh/².an
GPlus de 100 kgPlus de 420 kWh/².an

Comment réduire les GES de sa maison ?

Et si nous vous disions qu’il était simple de réduire ses émissions de GES ? Bonnes pratiques, gestes simples, travaux, les moyens de rendre son habitation plus respectueuse de l’environnement ne manquent pas. En voici quelques-uns : 

Améliorer l’isolation de sa maison

Augmenter les performances énergétiques de votre maison est le meilleur moyen de réduire votre émission de GES. Nous l’avons vu, la majorité des GES produits par une habitation est due au chauffage de la maison. En améliorant l’isolation de votre logement, vous réduisez vos besoins en chauffage, mais aussi en refroidissement, et limitez ainsi l’utilisation de votre chaudière. Afin d’accompagner les particuliers dans leur transition énergétique, de nombreuses subventions existent, nous vous les détaillons plus bas.

Changer son système de chauffage

De nouvelles chaudières existent aujourd’hui afin de chauffer sa maison de manière entièrement écologique. C’est le cas des pompes à chaleur, chaudières à granulés ou encore des chaudières à condensation. Si vous possédez une chaudière au charbon de bois ou au fuel, la transition sera non négligeable pour votre bilan DPE.

Choisir un chauffe-eau solaire

Le chauffe-eau solaire est un appareil à la fois économique, écologique et doté d’une grande performance énergétique. Il fonctionne uniquement en convertissant la chaleur du soleil en énergie. Grâce aux contributions de l’État, des municipalités et d’EDF, il est possible d’en acquérir facilement et à prix réduit.

Opter pour des panneaux solaires

Les panneaux solaires sont idéaux pour réduire significativement son impact environnemental. En optant pour un système de production d’électricité solaire, vous profitez d’une des nombreuses énergies renouvelables 100% vertes, afin de vous chauffer, cuisiner et pour votre utilisation quotidienne.

Optimiser sa consommation d’électricité et adopter des éco-gestes

Enfin, l’un des conseils les plus faciles à appliquer reste les éco-gestes à adopter au quotidien. Voici une liste d’habitudes simples à mettre en place afin de réduire les GES de sa maison : 

  • Réduire le chauffage de 1° ou 2°
  • Opter pour des lumières LED
  • N’acheter que des appareils électriques de classement A ou B
  • Éteindre et débrancher les appareils non utilisés
  • Recycler / faire un compost pour limiter ses déchets
  • Choisir un fournisseur d’électricité renouvelable (solaire, hydraulique ou éolienne)

Quelles aides pour réduire les GES de votre maison ?

Nationales ou régionales, les subventions pour vous aider à réduire vos GES sont nombreuses : 

MaPrimeRénov’

MaPrimRenov’ est une aide dispensée par l’ANAH (Agence nationale de l’habitat). Celle-ci se destine à tout propriétaire qui souhaite effectuer des travaux de rénovation énergétique dans un bâtiment. Le montant des primes varie selon le niveau de revenu de chaque foyer. 

Cette aide permet de financer en partie : 

  • L’installation d’un nouveau système de chauffage et d’eau chaude écologique (pompe à chaleur, chaudière et chauffe-eau au bois ou biomasse, chauffe-eau solaire…)
  • Des travaux d’isolation thermique (murs, toiture, vitrage…)
  • Des audits énergétiques

Certificats d’Économies d’Énergie (CEE)

Les CEE (Acronyme de Certificats d’Économie d’Énergie) sont des aides mises en place par l’État et financées par les fournisseurs d’énergie. Cette subvention permet de réaliser des travaux de : 

  • Rénovation d’ampleur dans une méthode à but énergétique
  • Installation d’une chaudière écologique 
  • Isolation thermique

TVA à taux réduit (5,5 %)

Depuis de nombreuses années, l’État propose des réductions de TVA pour certains types de travaux et dans certains secteurs. C’est le cas de la rénovation énergétique, ou les particuliers peuvent bénéficier d’une TVA à 10%, voire à 5,5%

Les particuliers comme les professionnels profitent d’une TVA à 5,5% dans le cas de : 

  • Rénovation pour l’amélioration de la performance énergétique de bâtiments (isolation, étanchéité, ventilation)
  • Installation d’une isolation thermique
  • Changement des systèmes de chauffage et de production d’eau chaude vers des systèmes écologiques.

À partir du 1er octobre 2025, les panneaux solaires photovoltaïques bénéficieront également de la TVA à 5,5%.

Prime à l’autoconsommation

La prime à l’autoconsommation est une aide financière, délivrée par l’État, destinée uniquement à l’installation de panneaux solaires.

Jusqu’au 30 juin 2025, le montant de la prime est de : 

Puissance de l’installationMontant de la prime
≤ 3 kWc80 €/kWc
≤ 9 kWc80 €/kWc
≤ 30 kWc190 €/kWc
≤ 100 kWc100 €/kWc

Tarifs en vigueur entre le 27.03.2025 et le 30.06.2025 

Le montant de la prime est réévalué tous les trois mois par la Commission de régulation de l’énergie (CRE). Le montant dépend de la puissance totale de l’installation en kWc.

À NOTER

De nombreuses régions et départements proposent de contribuer à la transition énergétique ou à la rénovation énergétique. Vous pouvez vous rendre dans votre mairie afin de prendre connaissances des subventions proposées par votre région et comment y être éligible.

Quand faut-il envisager une rénovation énergétique ?

Petits gestes ou rénovation, le pas est souvent grand. Pourtant, il est quelquefois nécessaire de passer par l’étape “rénovation” afin de transformer son habitation de passoire énergétique à habitation à haute performance énergétique, ou bâtiment passif. 

Si votre logement coche un ou plusieurs des critères suivants, il est peut-être temps d’envisager des travaux poussés.

Si votre maison est classée E, F ou G au DPE

Le DPE (diagnostic de performance énergétique) est, rappelons-le, un bilan qui permet de classer la consommation énergétique d’une maison ainsi que son émission de gaz à effet de serre. Si votre technicien professionnel vous attribue une note de E, F ou G, votre logement a besoin de travaux afin de le rendre plus éco-responsable. 

Si votre facture énergétique est élevée malgré une consommation raisonnable

Vous ne consommez pas beaucoup d’électricité, et pourtant chaque fois, votre facture d’énergie donne l’impression du contraire. Ce signe ne doit pas être ignoré, puisqu’en plus de pointer un défaut dans votre logement, il engendre également un coût supplémentaire à votre portefeuille. 

Plusieurs causes existent : 

  • Mauvaise isolation, ce qui vous pousse à augmenter le thermostat de la chaudière afin de chauffer convenablement votre maison
  • Utilisation d’appareils électroménagers de catégorie C, D et moins
  • Appareillages trop anciens (chaudière, chauffe-eau, frigo, fours…) qui présentent des baisses de performance

Si votre maison est mal isolée ou si vous constatez des déperditions de chaleur

L’isolation permet dans certains cas d’augmenter sa note DPE de 70 ou 80%. Si votre maison est mal isolée ou si une partie de celle-ci possède un problème d’isolation, les déperditions d’énergie sont nombreuses. En majorité, une maison perd 30% de sa chaleur par la toiture, 20% dans les conduits d’aération et entre 15 et 20% par les mirs et les fenêtres.

Si vos équipements de chauffage ont plus de 10 ans

En dix ans, les appareils de chauffe ont connu de grandes évolutions. Plus de performance pour moins d’énergie consommée, ceux-ci permettent de chauffer tout un logement, en assurant une dépense énergétique et une émission de gaz à effet de serre moindre que les anciens modèles.

Conclusion

L’émission de GES (gaz à effet de serre) d’une maison peut parfois aller du simple au quadruple. Malheureusement, en France, seuls 50% des logements obtiennent une bonne note au DPE, et la majorité du parc immobilier se situe dans les classes C, D et F.

Après une évaluation, il est tout à fait possible d’optimiser les performances énergétiques de sa maison. Pour cela, il vous suffit d’identifier les points faibles de votre habitation : isolation, chaudière, électroménager, … et de procéder à des rénovations tout en bénéficiant des subventions de l’État.

Les éco-gestes, eux, peuvent être adoptés dès aujourd’hui afin de faire du bien à l’environnement, et à votre budget !

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Dernière mise à jour le 26/05/2025

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